"Nanard" et son avocat sont mis en examen : les accusateurs publics vont devoir apprendre la présomption d'innocence.



La première mise en examen, celle de Bernard TAPIE, était attendue, la seconde, celle de son avocat, était moins évidente.

Ces mises en examen bouclent la boucle : a priori les autres arbitres seront laissés hors de la cause.

Cela affaiblit sensiblement la suspicion d'un accord préalable sur les montants, soit d'une escroquerie en bande organisée.

Comment l'escroquerie peut-elle être une escroquerie si deux arbitres sur trois peuvent s'opposer à l'octroi de telle ou telle indemnité... ?

L'affaire est désormais pénale mais peut avoir des implications civiles :

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