Dans toutes les Facultés il devrait y avoir un cours de langue juridique qui, de la définition (formelle, plate, positive;..), dériverait sur les notions et, plus abstraits encore, vers les concepts. Cette gradation est généralement ignorée et pas même travaillée.
Naturellement, avec l'étude d'une centaine de mots, serait alors appelée une réflexion sur les mécanismes juridiques (trop considérés comme des évidences) ou les fonctions juridiques (fort peu étudiées) et, aussi, sur les appellations juridiques.
Vous pouvez retrouver mes réflexions sur ces sujets dans mon essai sur l'IA (sur HAL), puisque l'IA, spécialement en droit, "n'est que" (...) du traitement du langage.
La Science juridique souffre beaucoup de cette absence de travail de la langue. Rarement est cité l'ouvrage de Gérard Cornu sur la linguistique juridique. Les dictionnaires juridiques réparent un peu cet état des choses, surtout si on les dévore.
Bravo aux auteurs et à l'éditeur.
Naturellement, avec l'étude d'une centaine de mots, serait alors appelée une réflexion sur les mécanismes juridiques (trop considérés comme des évidences) ou les fonctions juridiques (fort peu étudiées) et, aussi, sur les appellations juridiques.
Vous pouvez retrouver mes réflexions sur ces sujets dans mon essai sur l'IA (sur HAL), puisque l'IA, spécialement en droit, "n'est que" (...) du traitement du langage.
La Science juridique souffre beaucoup de cette absence de travail de la langue. Rarement est cité l'ouvrage de Gérard Cornu sur la linguistique juridique. Les dictionnaires juridiques réparent un peu cet état des choses, surtout si on les dévore.
Bravo aux auteurs et à l'éditeur.